Pancho expose ses portraits à Paris was last modified: mars 22nd, 2018 by francois forcadell
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Pancho et Elsa Oriol exposent à Paris
lundi 4 septembre 2017Ceux qui connaissent les dessins sur l’actualité de Pancho, dans Le Canard enchaîné notamment, pourront découvrir une autre facette de son travail avec ses portraits et ceux de Elsa Oriol, à partir du 2 septembre à la Galerie du Montparnasse, 55, rue du Montparnasse 75014 Paris. Vernissage le 6 septembre 2017.
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Pancho expose à Montevideo
mardi 8 mars 2016Pancho Graells dit Pancho
vendredi 25 septembre 2009Les lecteurs du Monde qui ont apprécié pendant plus de 25 ans les dessins de Pancho vont pouvoir découvrir ses peintures avec l’exposition “Signes & Figures”.
Du vendredi 18 septembre 2009 au vendredi 6 novembre 2009, la Maison de l’Amérique latine à Paris présente une cinquantaine de toiles réalisées au cours de ces vingt dernières années.
Un livre est également édité à cette occasion avec des reproductions des œuvres et des textes de Daniel Maja, Eduardo Galeano, et Merete Reinholdt, éditions Galaade.
Présentation du livre sur ce le site.
Extrait du texte de Daniel Maja :
“Dissipons l’équivoque : ce ne sont pas des portraits-charges. Chez Pancho Graells, la caricature, qu’il pratique d’ailleurs avec brio, le classant parmi les plus grands, se transforme par l’art du peintre en un instrument à penser l’âme, à la faire surgir, à la révéler… Le portrait-charge vise à créer des “types” (on le voit bien dans les figures polychromes de Daumier : l’arrogance, la sottise satisfaite, la duplicité, la ruse matoise, etc.).Le Portrait chez Pancho Graells témoigne des pulsions, des gouffres, des noeuds, des mystères mouvants de la psyché… On n’est pas dans la connivence ironique, on est bouleversé, interrogé, sommé par empathie de participer à ces « mystères ».De toutes les cultures dont il s’est nourri, Pancho Graells opère des synthèses surprenantes : là, il joue de la puissance élémentaire d’un Permeke aux bruns terreux, lourds ; ici c’est un bleu baroque, si pur, presque méthysique, celui de Poussin, là encore une taille à la serpe, sculpturale, cubiste et puis des effacements, des transitions équivoques, celles de Bacon.Ainsi se révèlent un Joyce incertain, mélancolique, un Beckett énigmatique, habité de vide, un Dvorak à la barbe bonnardesque, tous saisis, l’âme à nu, voici Honegger massif, Pessoa, Rilkeap…”
De 11h00 à 19h00 à La Maison de l’Amérique Latine,
217, Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris. Tél. : 01 49 54 75 00.
Si Pancho consacre désormais l’essentiel de son temps à la peinture, il n’en continue pas moins à dessiner pour la presse, et si Le Monde se passe désormais de son talent, on peut lire ses dessins dans Le Canard Enchaîné, The Guardian et The New York Review of Books