C’est désormais son propre journal L’Équipe – où il dessine depuis 1988 – , qui édite le florilège les meilleurs dessins de Chenez sur le sport parus dans l’année.
L’album peut être commandé en ligne sur le site du journal L’Équipe
C’est désormais son propre journal L’Équipe – où il dessine depuis 1988 – , qui édite le florilège les meilleurs dessins de Chenez sur le sport parus dans l’année.
L’album peut être commandé en ligne sur le site du journal L’Équipe
Ségolène ? Joli titre pour le dernier Pétillon qui réunit ses dessins de l’année du Canard enchaîné.
Albin Michel. « Ce type de recueil tombe avec une belle régularité. S’en lasse-t-on pour autant ? Voici donc le cru politique 2006. Toujours aussi bon. Pour le paraphraser, on pourrait même dire : « Pétillon. C’est du Coluche. Le trait en plus. » Mickael du Gouret sur le site Auracan.
Autre compilation celle de Plantu, Je ne dois pas dessiner… qui rassemble les dessins parus dans Le Monde et dans L’Express. Seuil.
Le dessinateur belge Zak (Jacques Moeraert) dessine depuis quelques semaines pour l’hebdomadaire français Le Point.
En 2005, les éditions de l’An 2 ont publié un recueil de ses dessins sous le titre “Les temps changent“.
En Belgique, Zak dessine pour le quotidien belge De Morgen, De Volkskrant, De Limburger et De Groene Amsterdammer. Il publie également dans le quotidien francophone Le Soir.
Nombre de dessinateurs de Charlie hebo, Cabu, Honoré, Charb, Luz, Riss, Catherine Meurisse, Jul, et quelques journalistes – mais pas le rédacteur en chef -, ont rendu à St Ouen l’aumône, un dernier hommage à Bernar, décédé brutalement le 21 septembre 2006 à l’âge de 49 ans. L’hebdomadaire lui a consacré une double page.
Extraits de l’éloge funèbre prononcé par Yves Frémion : […]
« Je veux parler seulement de ce qui fait que nous ne l’oublierons pas, ce que Bernar a apporté au monde du dessin, car à lui tout seul il a inventé un genre. […] « Bernar ne déforme aucun visage, n’exagère aucun trait, n’accentue ou ne dévalue rien, il ne « charge » pas. Il dessine les visages et les corps exactement comme ils sont. Et pourtant, ce n’est pas non plus du portrait, car le lecteur a quand même conscience de la satire qui est contenue dans le dessin. Contenue, parfois de façon implicite, c’est le regard du lecteur qui la met là où Bernar ne l’a même pas dessiné. […] « Là était la force de son dessin : la vérité toute nue, la réalité toute crue, la honte toute bue. » […] « Je ne vois pas qui, avant Bernar, s’est essayé à ça. Ni après. Le genre va sans doute s’éteindre avec lui. » […]
Réactivité de l’Internet, l’annonce du décès de Bernar était mentionnée dans sa notice de l’encyclopédie Wikipédia le lendemain de sa disparition.