Galerie idéale et subjective des grands génies de la culture occidentale, rassemblés sans souci de chronologie en donnant quelques clés pour comprendre leur oeuvre.
Sont croqués L. de Vinci, Bruegel, Rembrandt, Mozart, Bach, Vivaldi, Paganini, T. Kantor ou M. Chao, P. Gauguin, Van Gogh, E. Schiele, les Beattles, etc. L’auteur opère un rapprochement entre le texte et des visuels inattendus.
Résumé publié sur ce site
Honoré, Cent nouveaux rébus littéraires.
Les éditions Arléa, nous proposent le deuxième
Opus des rébus d’Honoré publiés
dans le mensuel Lire.
Une occasion de tester sa culture tout en s’amusant,
mais aussi de découvrir tout le talent graphique
de cet auteur.
Légende du rébus (facile) ci-dessus : « Son style est mémorable, quand il parlait de cour. »
Alain Trez expose ses peintures du 2 au 30 novembre 2006 à la librairie-galerie Perle & Compagnies, 4, place Henri IV, 60300, Senlis.
Une rencontre avec l’artiste aura lieu le vendredi 17 novembre à partir de 19h.
Tél. 03 44 53 58 31.
Les éditions Glénat publient une adaptation en bande dessinées des peu râgoutants SAS de Gérard de Villiers, un auteur qui s’inspire à sa manière d’un fait d’actualité en y rajoutant de fortes doses de violence et de sexe.
Deux titres parus : Pacte avec le diable et Le sabre de Bin Laden.
A noter que le logo Glénat ne figure pas sur la couverture.
La carrière de Jacques Chirac est retracée en dessins par l’équipe de Charlie hebdo d’hier et d’aujourd’hui :
Cabu, Gébé, Willem, Honoré, Tignous, Luz, etc. dans l’album La succès story du président.
Textes de Bruno Gaccio et Benoît Delépine.
Éditions Hoëbeke.
Coup éditorial opportuniste ?, l’album de bandes dessinées La face karchée de Sarkozy est présenté comme un événement par les éditions Vent d’ouest (groupe Glénat) associées à Fayard qui annoncent un tirage de 100 000 exemplaires.
Les auteurs de cet album, – « première BD-enquête » – sont Philippe Cohen journaliste à Marianne, Richard Malka, avocat de Clearstream, Charlie hebdo et Glénat, et Riss, dessinateur à Charlie hebdo. A noter que les bonnes feuilles sont parues dans Marianne (n°497), qui lui consacre pas moins de neuf pages, et non dans l’hebdo satirique de Philippe Val.
Encore aurait-il fallu pour la qualité de l’ouvrage que le dessin et la mise en page soit à la hauteur du pamphlet. Or, (hélas pour Riss qui a du travailler dans l’urgence), cet aspect des choses est bâclé et le seul intérêt de l’album est d’essayer de deviner quels sont les personnages que Riss a dessiné à partir de photos anciennes (rassurez-vous les noms sont indiqués ce qui rend le jeu encore plus drôle). On imagine le même ouvrage dessiné par Cabu, Luz, ou même Maëster, mais il ne se serait sans doute pas vendu dans les « hypers » (marchés), cible favorite de certains éditeurs aujourd’hui.
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