Grand cru pour la 14ème biennale « Humour à Trouville » : Soulas, Honoré, Sajtinac, Pakman, Hélène Maurel, étaient présents le jour du vernissage où l’on a également vu Danièle Delorme et Marie-France Beaucourt de la galerie An-Girard, Faujour, la dessinatrice Valère, et le grand Moëbius – Jean Giraud qui depuis deux éditions accompagne toutes les festivités de cette manifestation et la fanfare du Piston Circus dont il s’est pris de passion.
Cardon qui expose de nombreux originaux n’a pu être présent ce jour-là.
Autres points forts, l’exposition en hommage à Blachon, les affiches de Savignac et les sculptures de Gilbert Legrand, à la mairie, et à la Galerie du Musée Villa Montebello. « Humour à Trouville » a édité un très beau porfolio catalogue sur le thème « Quel cirque ! » disponible sur place jusqu’au 8 mai 2011 (15 euros).
Pour tout renseignement : m.j.trouville@wanadoo.fr
Trouville a beaucoup d’humour was last modified: avril 18th, 2011 by francois forcadell
La notice Wikipedia d’Olivier O. Olivier (Pierre Marie Olivier) vient d’être hélas mise à jour récemment. On peut y lire
« Olivier O. Olivier, né à Paris le 1er mai 1931 et mort le 11 avril 2011. Son nom a été trouvé par Fernando Arrabal. Il obtient une licence de Philosophie à la Sorbonne (Paris) en 1954. Par la suite, il suivra les cours de l’École des Beaux-Arts dans cette même ville. Peintre fantastique, membre du groupe Panique (1964). Membre de l’Oupeinpo. Régent d’Onirographie du Collège de Pataphysique ».
Rien à rajouter si ce n’est que Frédéric Pajak a publié en 2005 dans la collection Les cahiers dessinés son livre « Notre monde, ou presque » (Buchet-Chastel), et que cet ouvrage a obtenu en 2006 le Grand prix de l’humour noir-Granville.
Deux expositions sont actuellement consacrées à ses œuvres, une à San Francisco “Les visions légèrement déréglées d’Olivier O. Olivier”, et une autre à Bruxelles, au Salon d’Art de Jean Marchetti, intitulée “La compagnie des bêtes ». Une exposition sera présentée à Paris à partir du 18 mai (source : susauvieuxmonde.canalblog.com).
Le très intéressant Caricatures & Caricature.com consacre un article au reportage « Si Tonton m’était caricaturé » diffusé dans l’émission« Un monde de Bulle » (Public Sénat) le 11 mars.
Les dessinateurs Barrigue, Charb, Luz, Cabu, Siné, Wolinski, Morchoisne, évoquent leur relation graphique et éditoriale avec François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995. Le site propose de nombreux extraits de l’émission.
Nul doute que « Un monde de Bulle » consacrera une émission à Nicolas Sarkozy… lorsqu’il aura quitté le pouvoir.
Illustration : capture d’écran de l’interview de Wolinski.
La tête à Tonton (Mitterrand) was last modified: avril 13th, 2011 by francois forcadell
« Le groupe russe d’art contestataire Voïna a remporté le prix Innovation-2011 dans le domaine de l’art moderne visuel, pour le gigantesque phallus dessiné l’an dernier en face des bureaux du FSB (sécurité d’Etat) à Saint-Pétersbourg. L’oeuvre porte le nom évocateur de La bite prisonnière du FSB. Le prix, officiel, est organisé par Le Centre d’art moderne du ministère de la Culture russe.
Le phallus d’une soixantaine de mètres a été dessiné l’an dernier sur le pont Liteïni de Saint-Pétersbourg, qui se lève la nuit pour laisser passer les navires, en plein centre de l’ex-capitale impériale. Le pont relevé, l’énorme dessin se dressait juste en face du siège local du FSB (service fédéral de sécurité, issu de l’ex-KGB). Le prix est doté de 400 000 roubles (10 000 euros). »
L’Express.fr diffuse une video d’Arte qui présente l’œuvre d’art en action et les activités du groupe Voïna.
Art monumental was last modified: avril 12th, 2011 by jimmy
Les dessinatrices investissent de plus en plus le milieu très masculin du dessin de presse et c’est tant mieux. L’excellent site ActuaBD.com publie un entretien avec Catherine Meurisse qui évoque son travail à Charlie Hebdo et ses albums de bandes dessinées.
Extrait :
« Didier Pasamonik : La caricature, c’est un milieu de mecs, surtout…. Catherine Meurisse : C’est la tradition qui veut ça… Mais les filles frappent de plus en plus à la porte de Charlie, et c’est moi qui les trie à l’entrée, en respectant les quotas ! Je me souviens du plaisir de Cabu voyant débarquer une fille dans l’équipe : il attendait ça depuis longtemps. J’ai été très bien accueillie, même si j’ai dû développer un certain sens de la répartie, voire de la gifle orale, parfois, pour m’imposer. L’équipe me terrifiait, l’idée de ne pas être à la hauteur me faisait suer à grosses gouttes, je n’osais pas montrer mes dessins, et malgré cela il fallait être drôle, savoir répondre aux vannes, etc. Maintenant que j’ai vieilli, je suis beaucoup plus à l’aise et tout me paraît parfaitement naturel dans le meilleur des mondes. »
Catherine Meurisse cite par ailleurs les dessinateurs qui font partie de son Panthéon « Sempé, Beuville, William Steig, Quentin Blake, Steinberg, Gus Bofa, George Grosz », et pour la caricature « Daumier ».
Dernier album publié « Savoir-vivre ou mourir », aux éditions Charlie Hebdo – Les échappés.
Catherine Meurisse (encore ?) (pourquoi pas !) was last modified: avril 12th, 2011 by francois forcadell
« Urtikan.net » publie une douzaine de dessinateurs – Berth, Cambon, Chimulus, Deligne, Faujour, Jiho, Lacombe, Lasserpe, Mric, Mutio, Pakman, Soulcié – et des textes courts.
Le numéro présenté est une préfiguration du journal qui paraîtra tous les mardi. L’abonnement pour un mois (4 numéros) est à 4,90 euros. 10 à 15 000 Internautes abonnés sont nécessaires pour assurer la viabilité du projet et, d’après nos informations, ils seraient déjà nombreux à s’inscrire pour recevoir le n°1.
Un webdo satirique was last modified: avril 8th, 2011 by francois forcadell
Grand cru pour la 14ème biennale « Humour à Trouville » : Soulas, Honoré, Sajtinac, Pakman, Hélène Maurel, étaient présents le jour du vernissage où l’on a également vu Danièle Delorme et Marie-France Beaucourt de la galerie An-Girard, Faujour, la dessinatrice Valère, et le grand Moëbius – Jean Giraud qui depuis deux éditions accompagne toutes les festivités de cette manifestation et la fanfare du Piston Circus dont il s’est pris de passion. 
Cardon qui expose de nombreux originaux n’a pu être présent ce jour-là.
», aux éditions Charlie Hebdo – Les échappés.
