À l’occasion de la sortie de son nouveau livre « Le Monde merveilleux de l’entreprise » (Cherche midi), le dessinateur Voutch présente à la galerie Marie Watteau et à partir du 4 décembre, une exposition des originaux de ses dessins parus dans les précédents albums « Le Futur ne recule jamais » (2006) et « Le Doute est partout » (2007) au Cherche midi.
Tous les dessins exposés et mis en vente, sont dès à présent visibles sur le site de la galerie.
L’auteur dédicacera ses albums le samedi 12 décembre de 16 à 19 heures.
Galerie Marie Watteau
14, rue de Beaune
75007 Paris.
Tél. : 01 40 15 08 16.
Illustration : dessin de © Voutch.
Pour lutter contre les dégradations volontaires de Vélib’, la Mairie de Paris et la société Jean-Claude Decaux ont réalisé une campagne de sensibilisation à ce problème. Des affiches signées Cabu sont affichées depuis le mois de mai dans toute la capitale.
Plantu, « Les meilleurs dessins de Plantu dans Le Monde 2010 ». Comme son titre l’indique. Publié dans la collection des éphémérides Almaniaks des éditions 365. Un dessin par jour.
Delambre, « Le diable au Corse » (Cherche midi). Après Le Da Vinci Corse, Delambre dessinateur au Canard enchaîné, exploite le filon de l’humour insulaire, canal satirique.
Ballouhey, « Goguenard » (Le Bateau camionnette). Dessins parus dans 60 millions de consommateurs, le Mémorial de l’Isère et Siné-Hebdo plus des dessins de l’exposition de l’Espace Culture de Marseille “Boules et Jazz” et des inédits.
Brito publie « Édition spéciale ».
Wiaz publie « 10 ans pour ça ! »
Le Centre de l’illustration à Moulins présente « Pourquoi grandir ? », une exposition de plus de 300 œuvres d’Étienne Delessert. Du 3 octobre 2009 au 8 mars 2010,
Vient de paraitre la réédition en un seul album des « Contes 1-2-3-4 pour enfants de moins de 3 ans » d’Eugène Ionesco (Gallimard) illustrés par Étienne Delessert.
Ce sera un des albums événement de cette fin d’année. Annoncé par ce blog il y a déjà quelques semaines, « Sempé à New York », qui rassemble 101 couvertures et les dessins parus depuis 1978 dans le New Yorker, vient de paraître.
Une somme de 320 pages, format 230 x 320 mm (45 €) accompagnée d’un texte de Marc Lecarpentier ancien directeur de la rédaction de Télérama.
« Ce que réussit le mieux Sempé, c’est quand les flocons de neige restent suspendus à hauteur de fenêtre des buildings et ne semblent pas atteindre le trottoir et quand, par une baie, on aperçoit quelques jazzmen réunis, chemise hawaiienne à col ouvert, entre potes pour “faire un boeuf” dans un studio d’un 47e étage. Cet album concentre ainsi des petits brasiers de chaleur humaine dans le vide sidéral d’une ville tentaculaire. Et quand on demande à Sempé : “À quel moment savez-vous quand un dessin est bon ? ” et qu’il répond : ” Je ne sais pas”, on est proche de l’encre séchée, des crayons retaillés, de l’eau qui tremble dans le verre, de la solitude vraie du dessinateur saisi par le doute. Puis, il ajoute : “Je demande l’avis de mes amis. Et je trouve que les femmes ont du goût. Elles sont aptes à donner un avis plus frais. »
